Créé en 2004 par la Fédération BJOC, le Comité des chefs d’établissement fédère de nombreuses Ecoles françaises qui forment aux métiers de la bijouterie. Ce collectif permet ainsi aux chefs d’établissement et aux directions pédagogiques de partager leurs expériences et d’assurer l’adéquation entre les enseignements et les besoins du Métier. L’objectif est également de relayer les attentes de ces organismes auprès du Ministère de l’Education Nationale. Le Comité réunit 15 Ecoles implantées dans toute la France et représentant plus de 1000 étudiants. Il apporte des réponses collectives aux enjeux de formation du secteur bijouterie-joaillerie.
Les établissements présents à la réunion étaient représentés par :
M. Michel BALDOCCHI – Directeur – Ecoles de la rue du Louvre – Paris (75)
Mme Nathalie BIHAN – Directrice – Ecole TANE – Ploërmel (56)
M. Jacques POSSAMAI – Chef de travaux – Lycée professionnel Amblard – Valence (26)
Mme. Anne-Laure ELKHAOUA – Coordinateur– Institut de Bijouterie de Saumur – Saumur (49)
Mme Christine GUICHERD – Conseillère en formation continue des métiers – Greta Viva 5 Valence (26)
Mme Mireille COT-BEDIGIS – Chef de travaux – Ecole Boulle – Paris (75)
M. Laurent BAILLY – Proviseur adjoint – Ecole Boulle – Paris (75)
Mme Agnès BAYLOT – Responsable Pôle métiers d’art – SEPR – Lyon (69)
La réunion du 15 novembre 2016, qui s’est déroulée sous la conduite de Madame Bernadette Pinet-Cuoq, Présidente de la Commission Paritaire Nationale de l’Emploi, a été l’occasion d’avancer sur différents dossiers.
Les chefs d’établissement ont d’abord fait le point sur la transition entre le maillechort et l’argent, conformément à la règlementation européenne qui impose des limites à l’exposition au nickel (http://www.ineris.fr/aida/consultation_document/153).
Cette transition implique un investissement de départ important qui sera compensé par la refonte du métal. Cela correspond également à une vision globale de diminution des déchets produits. Tous les nouveaux dispositifs devront être mis en place pour juin 2018.
Le comité a également décidé de reconduire chaque année les enquêtes employabilité et flux de formation qui sont de véritables outils stratégiques pour mieux anticiper les besoins des entreprises et adapter les formations en conséquence.